Dans un village reculé vivait un homme grand et fort. Un forgerons, son nom tout le monde le connaissais : Ariano. Il savait écouter les gens, les aider et les soutenir. Il créait toutes formes avec le fer et aimait le rendre beau. Il faisait le fer pour les chevaux, pour les charrettes mais le soir il s’amusait à créer des formes particulières et les offrais aux femmes du village. En parlant de femme, il n’en avait pas. Au ce n’est pas que personnes ne l’aimaient. Car nombre de jeunes femmes lui faisait la cour. Non c’est plutôt qu’il ne se sentait pas près pour cette aventure. La vie était belle et paisible.
Il allait faire tout noir. (ta gueule, bon d’accord). Le soleil se couchait, les gardes romains annonçaient la fermeture des barricades de la ville. Tout le monde rentrait chez sois. La journée devait se terminer sur cette fin mais Le dieu saint en décida autrement. Des chevaux lancés aux galops approchaient et pulvérisèrent la porte de la ville. Elles étaient faites de bois moisi, les gardes étaient armés en tout et pour tout de cimetaire rouillé. Les germains ne mirent pas beaucoup de temps pour détruire le peu de résistance que faisait les romains. Vint la boucherie, le pillage commença. Les viols, les meurtres, les enlèvements se déroulèrent devant les yeux d’Ariano. Il ne pouvait laissé ça. Il ne devait pas. Il chercha la taverne des yeux et vit que c’était le seul bâtiment que les germains ne tenaient pas. Du moins pas encore. Il pris une épée au sol, courut, courut aussi vite qu’il pouvait. Il tua au passage, tua un violeur ou du moins la personne qui voulait violer la jeune femme. Il la pris sous le bras (c’est une expression, certes il était fort mais pas à ce point là) et courut vers la taverne. La sortie de derrière de la taverne que les germains n’avaient toujours pas découvert.
A l’intérieur, les tables étaient toutes contres la porte et tous tenaient dans la main une arme : un couteau de cuisine, une faux, une pinte. Tous voulaient se battre.
-Mes Amis, dit Ariano, nous ne pouvons pas laisser ces agresseurs partir ainsi. Défendons-nous. Je viens de dehors et j’ai vus que quatre cavaliers essayent d’enfoncer la porte que vous tenez. Laissez les entrer, tuons-les et reprenons notre village.
Tous acceptaient, tous savaient que c’étaient leur seule chance de vivre. Et c’est ce qu’ils firent. Les cavaliers entrèrent dans l’auberge et tombèrent sous les coups frénétiques des villageois. Tous savaient se qu’ils devaient faire. Ariano, lui devait trouver d’autre homme valide et tuer. Tuer quiconque les empêcherait d’atteindre leurs objectifs.
Finalement le soleil se coucha. Un vent léger charriait déjà une odeur putride. Une odeur que peu dans ce village, oublierait. Les agresseurs étaient morts et le peu de survivant allaient mourir dans la plaine qui englobait le village.
-Nous ne pouvons pas les laisser impuni !! S’exclama Ariano en colère.
-Nous n’avons aucune force armée et après les massacres qu’il y a eu je ne suis pas sur que les hommes du village souhaite participer à cette expédition. Dit le chef du village, deux jours après l’attaque. Le conseil c’est réuni ici pour ouvrir des négociations avec nos agresseurs. La perte de leurs hommes prouvera que nous savons nous défendre.
Ils étaient au centre du village et tous, tout les villageois été là.
Ariano se leva :
-Mes amis demain je part m’entraîner dans le bois là-bas, dit-il en montrant les quelques arbres sur une colline voisine, qui veux me suivre.
Ce n’était pas un grand village il comptait à peine 300 personnes mais une bonne centaines de main se leva. Il regarda le chef :
-va voir nos agresseur et si dans deux semaines tu ne nous revient pas en un seul morceaux je prendrais la tête de notre armée et …et on verra se qu’il adviendra.
Une semaine passa et le chef revint. Mais pas en un seul morceaux puisque sa tête était accroché à sa selle. Ariano entraîna ses hommes encore quelque jours ses hommes, composés de cavalier grâce aux chevaux germains survivant. Mais il y avant surtout des Impérians, c’est le nom qu’ils c’étaient donnés. Des hommes qui n’avaient plus rien à perdre car ils avaient déjà tout perdu. Vint enfin le jour J et l’heure H. Les troupes étaient prêtes. Les femmes les regardaient partir des murailles faites rapidement, muraille faite de pierre cette fois-ci.
Le voyage leur pris 2 jours. A l’aube du second jour, dans un vallée, se trouvait le village maudis. La palissade de terre ne devrait pas trop les retarder. Ils étaient près. Ariano allait lancer l’assaut quand il vit un nuage de poussière qui se dirigeait vers le village. Le nuage était en face de l’armée romaine.
-Peut-être est-ce une avant-garde chargée de piller comme celle qui à été envoyé dans notre village, dit le second d’Ariano.
-Je ne sais pas. Dit celui-ci. Mais le nuage est encore loin. Attaquons tout de suite.
Et c’est ce que l’armée fit. Ils étaient préparé, entraîné et armée. Les germains armée ne posèrent aucun problème. Le pillage pouvait commencer. Ariano avait ordonnée qu’une seul chose, les hommes étaient libre de voler, de tuer mais interdiction de violé. Celui qui se faisait prendre allait mourir sur le champ. La ville fut rapidement nettoyée de toute richesse. Ariano et son armée parti ensuite à la rencontre avec se nuage de poussière.
Il reconnus de loin l’étendard romain. Il demanda à son second de montrer aussi le sien pour que l’armée qui arrivait voit bien qu’ils n’avaient rien à craindre d’Ariano et ces hommes.
Lorsque les deux armées étaient l’une en face de l’autre, avec une distance de sécurité, Ariano s’avança :
-Qui est votre supérieur soldats ?
-Moi, dit un homme en sortant des rangs, qui êtes-vous et que faites-vous ici.
-Je ne vois pas pourquoi je devrais vous répondre, néanmoins pour se quitter en bon terme je vous le dirais. Je me nomme Ariano et je suis le chef de cette armée qui est venus venger leur frère mort lors d’un raid germain. Maintenant qui êtes vous et que faites-vous ici.
-Je vais répondre en guise de bonne fois. Je me nomme Malekith, je suis le chef de mon village et je viens venger mes frères morts lors d’un raid germain.
Ainsi se termina mon histoire, Ariano revint victorieux et fut nommé chef du village aujourd’hui connu sous le nom du Sixième royaume. Malekith et Ariano s’entendire bien et ce premier invita le nouveaux roi dans une alliance forte et qui n’attend qu’une chose. Pulvériser le prochain adversaire qui se mettra sur son chemain.